Le 28 novembre 2013, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles décidait de lancer un plan de création de places en urgence dans les écoles fondamentales, dont une partie sur la Région de Bruxelles-Capitale.


Il s’agissait par là de faire la jonction avec la création de places « en dur », dont les délais plus longs ne permettaient plus l’exécution avant la rentrée 2014.

3 possibilités étaient proposées :

  • Des modulaires « mobiles », pour permettre d’anticiper la fin de chantiers en cours ou faire face à des situations d’urgence (dépôt des projets pour le 20 janvier) ;
  • Des modulaires fixes, pour répondre aux besoins de moyen terme (dépôt des projets pour le 10 février) ;
  • Des places créées via des rénovations légères dans des locaux inutilisés dans des écoles ou des bâtiments publics (dépôt des projets pour le 10 mars.

La commune a-t-elle déposé des projets dans le cadre de cette opération (ou pour les volets qui ne sont pas arrivés à échéance, compte-t-elle le faire) ? Si oui, lesquels ?

Par quels moyens le Collège compte-t-il rencontrer les besoins en urgence ? A plus long terme ?

Enfin, le Collège peut-il faire le point sur les projets de création de places « en dur », via le Crac ou le Fonds des bâtiments scolaires de l’enseignement officiel subventionné ? Ont-ils pris du retard, Si oui, pour quelles raisons ? Et si le Collège n’a sollicité dans un passé récent aucune création de places « en dur », peut-il le justifier ?