On vous le présente :
Historien de formation, informaticien au quotidien, et habitant du quartier Nord, je me concentre au conseil communal depuis 2019 sur les dossiers d’urbanisme, de nuisances et d’ordre public. Cette expertise et une réflexion qui sors de l’immédiateté pour se projeter sur le temps long garantissent des actions concrètes et efficaces.
En mai 2022 le journal La Capitale dressait ainsi son portrait :
Plus de 3.000 livres chez lui
Avant de rejoindre les bancs de l’opposition auprès d’Ecolo, Pascal Lemaire réalise deux masters : l’un en en histoire de l’Antiquité, l’autre en sciences et technologies de l’information et de la communication qu’il a complété par des formations à Oxford et le King’s College London. « Je garde un lien avec l’Antiquité même dans l’informatique, mon mémoire était la digitalisation des documents antiques sur papyrus. C’était le lien entre deux mondes, l’ancien et le nouveau », commente le conseiller communal depuis 2019.
Il n’est pas rare de l’apercevoir sur des sites archéologiques. « Je m’intéresse essentiellement à la culture gréco-romaine et plus largement aux cultures du bassin méditerranéen. Je voyage surtout autour de la Méditerranée. Je n’ai pas encore eu l’opportunité de faire la Libye et la Syrie mais il me reste encore plein de choses à faire en Turquie et en Egypte », précise le Tennoodois.Autre passion, la littérature. Il possède plus de 3.000 livres chez lui. « Je lis beaucoup de romans de science-fiction et d’uchronie (le jeu avec la temporalité, le lien avec l’histoire). L’histoire nous apprend énormément de choses », confie Pascal Lemaire qui réalise actuellement une thèse de doctorat en littérature anglaise.
Quand il a le temps, il écrit de la fiction. Deux nouvelles ont déjà été publiées. Il a aussi pour projet de publier une série de nouvelles qu’il avait rédigée pour un jeune garçon victime de viol. « On est dans une
culture qui tend à nier et à masquer le viol de garçon. Autant une petite fille peut trouver des récits qui l’aident à se reconstruire autant pour les garçons il n’y avait rien », constate-t-il.(https://www.sudinfo.be/art/955261/article/2022-05-29/plus-de-3000-livres-chez-lui)